Ma décision n’a pas été sans conséquence….olfactive. Mais j’ai tenu bon et j’ai bien fait.
Homme fuyant déodorant Illustration Zoo & Co |
Si vous décidez vous aussi de choisir cette solution radicale, attendez-vous à ce que vos glandes sudoripares soient complètement désorientées. Mais courage ! Le “sevrage” peut prendre deux ou trois semaines pendant lesquelles je vous conseille d’aller en cours de journée vous passer un peu d’eau sous les aisselles. C’est plus simple si on commence à la belle saison. Et un beau jour, tout rentre dans l’ordre. Bien sûr, en cas d’effort intense, de stress, de grosse chaleur, une odeur naturelle peut se former que vous ne sentirez qu’en vous mettant le pif sous le bras (ce qui n’est pas vraiment la manière la plus élégante de se tenir dans le monde….).
En cessant d’utiliser un déo, on y gagne sur trois plans: la santé, le zéro déchet et le porte-monnaie.
Et si vous préférez une transition plus en douceur, deux alternatives au “no deo”:
– l’huile essentielle bio de palmarosa : une goutte sous chaque aisselle (contre-indiqué chez les femmes enceintes de moins de 3 mois. Source : Santé Nature Innovation, magazine Plantes & Bien-Etre n° 25 juin 2016 ).
– un peu de bicarbonate de soude mélangé à de l’eau sous chaque aisselle.
Mon amie Camille propose cette recette toute simple que vous trouverez ici : RECETTE_DEO
Pour aller plus loin :
1. Cancer et environnement
2. Université de Genève
3. L’Express
Bonne journée !